Plus d'une centaine de commerçants australiens de devises se battent pour éviter des millions de pertes Exclusif par le journaliste d'affaires Neal Woolrich Mis à jour le 17 février 2015 11:47:01 Photo: Les commerçants australiens de devises étrangères ont perdu des millions en raison de la hausse soudaine du franc suisse le mois dernier. 039Francogeddon039 expose les risques de commerce de change à effet de levier Ici en Australie et dans le monde entier les sociétés de change vendent le rêve de la richesse instantanée. C'est un commerce en plein essor qui a doublé de taille depuis 2007, et tourne aujourd'hui plus de 380 millions par jour. Mais pour des centaines de Australiens 51 000 maman et papa commerçants de détail au détail, ce rêve est devenu un cauchemar. L'ABC peut révéler que plus de 100 commerçants de détail de change en Australie souvent petits investisseurs qui se mêlent dans le marché des changes dans leur temps libre ont subi des pertes massives sur leurs comptes de trading. Plusieurs sont dans les centaines de milliers de dollars et, dans au moins deux cas, ces pertes ont grimpé au-dessus de 1 million. Maintenant, certains d'entre eux sont chassés par leurs courtiers en devises étrangères pour payer ces pertes. Taux de change en francs Le 15 janvier, la Banque nationale suisse a mis les marchés des changes en vrille lorsqu'elle a soudainement retiré un plafond de son taux de change. Le bonnet était en place pour empêcher le franc suisse d'apprécier trop. Le franc était considéré comme un refuge sûr et une monnaie surévaluée rendrait son économie nationale non compétitive et entraverait la croissance économique. Lorsque le plafond a été supprimé de façon inattendue, le franc s'est apprécié de 30% en un instant contre l'euro, et les négociants en devises détenant le franc ont profité de gains inattendus. Mais ceux de l'autre côté de la transaction ont été laissés brouiller pour couvrir leurs pertes et, dans le cas de quelques-uns des plus grands mondes des entreprises de commerce de devises étrangères, exposés à des centaines de millions de dollars en pertes. Les traders australiens perdent des millions Si je devais payer pour le solde négatif, cela signifierait la perte potentielle de ma maison, rupture possible de ma famille, a dit un client FXCM, un trader en devises qui a demandé des raisons légales que son identité ne Être révélé. Cela a coûté énormément de pression émotionnelle pour moi et ma femme, et nous sommes extrêmement inquiets de l'avenir de nos enfants. Un certain nombre de clients du courtier en devises américain, Foreign Exchange Capital Markets (FXCM), le plus important courtier de forex au monde, ont signalé leurs cas à la Commission australienne des valeurs mobilières et des placements (ASIC) et au Financial Ombudsman Service. L'ABC comprend les clients d'au moins deux autres entreprises IG Marchés et Marchés Amiral sont également en litige avec leurs courtiers. Les clients de FXCM acceptent qu'ils sont susceptibles de perdre le capital qu'ils avaient apporté à leurs comptes de change. Cependant, ils soutiennent que FXCM avait une politique largement annoncée de pas négatifs (ou de débit) des soldes, et sa mauvaise gestion des risques conduit à des pertes en spirale hors de contrôle. Cette politique est très claire et directe, que FXCM garantit aucune dette est due à FXCM si un solde négatif est survenu, a déclaré le client FXCM. C'est l'une des raisons très importantes pour moi et pour toutes les autres victimes de choisir FXCM comme notre courtier en devises. Politique FXCMs de soldes sans prélèvement sur FX et CFDs C'est la politique FXCMs de créditer les comptes de négociation de détail à un solde zéro lorsque les soldes débiteurs se produisent à la suite de la négociation. L'une des plus grandes préoccupations que les commerçants ont sur l'effet de levier, c'est qu'une perte considérable pourrait entraîner une dette envers leur courtier. Chez FXCM, votre risque maximum de perte est limité par le montant de votre compte. Tous les comptes sont suivis par notre fonctionnalité Margin Watcher. Avec la fonctionnalité Marge de surveillance, si la valeur du compte tombe en dessous des exigences de marge, la station de négoce FXCM déclenchera une commande pour fermer toutes les positions ouvertes. Malgré ces assurances de FXCM, le client a dit à l'ABC qu'il a reçu un courriel de FXCM en janvier exigeant qu'il paie un solde négatif de plusieurs centaines de milliers de dollars. FXCMs clients australiens lésés font valoir que d'autres courtiers ont navigué le choc franc suisse en bien meilleure forme que FXCM parce qu'ils avaient de meilleures pratiques de gestion des risques en place, et les comptes de leurs clients ont été fermés rapidement avant les pertes espacées hors de contrôle. Oui, bien sûr, nous devons prendre la responsabilité nous-mêmes, mais seulement dans la mesure du montant d'argent que nous mettons, le client ajouté. Dangers de levier exposés Parce que les devises ont tendance à se déplacer en petits incréments, les opérateurs de change utilisent le levier, ou d'emprunt, pour accentuer leurs profits. Toutefois, avec effet de levier vient le risque de pertes plus importantes lorsque les devises se déplacent contre le commerçant. Un commerçant qui contribue 10 000 de leur propre argent, et utilise un ratio de levier de 200: 1, peut prendre une position de 2 millions sur une monnaie. L'autre 1 990 000 est emprunté au courtier en devises étrangères. Si la monnaie baisse de 1 pour cent alors le commerçant a perdu 20 000 les 10 000 qu'ils ont contribué, plus un supplément de 10 000 d'argent emprunté, les mettant dans un solde négatif avec leur courtier. Cependant, dans un cas extrême comme le franc suisse, un mouvement de 30 p. 100 leur imposerait 600 000 arriérés en un instant. FXCM a confirmé que 115 de ses 16 000 clients australiens avaient un solde négatif en raison de l'événement en francs suisses. La société a indiqué qu'elle avait informé 10 clients que leurs soldes négatifs devaient être remboursés. Ces clients ont chacun 1 million d'actifs nets ou ont déposé plus de 250 000 dans leurs comptes au cours de la durée de vie de leur compte et ont au moins deux ans d'expérience en négociation. FXCM a déclaré que les soldes négatifs des 105 autres clients ont été pardonnés. Dans une déclaration à l'ABC, FXCMs chef de la direction Drew Niv a déclaré que la position contractuelle avec les clients était clair. Plusieurs dispositions précisent clairement que FXCM Australia a le droit juridique et contractuel de recouvrer intégralement les soldes négatifs de ses clients australiens et que les clients australiens étaient ou auraient dû être au courant de cette obligation de rendre compte. La société fait valoir que les actions des banques suisses le 15 janvier ont été un événement de force majeure, incluant des actions gouvernementales qui empêchent un marché ordonné ou des événements exceptionnels sur le marché. Réglementation australienne sous le feu Dans la foulée de la crise financière mondiale, les États-Unis ont mis un frein à main sur l'industrie du commerce de détail de détail, le limitant à un rapport de levier maximal de 50: 1. Toutefois, en Australie, les courtiers en devises offrent des ratios de levier allant jusqu'à 500: 1. Mark Crosby, professeur agrégé de la Melbourne Business School, a déclaré à l'ABC le mois dernier qu'il n'y avait pas de place pour les plates-formes de négociation de change en Australie. Je pense qu'ils ne devraient pas être disponibles pour les investisseurs de détail à tous, et je ne pense certainement pas qu'ils devraient être promus à des investisseurs de détail, at-il dit. La Commission australienne des valeurs mobilières et des placements affirme que la question des contrôles plus importants est une question de gouvernement, mais elle a constamment averti les consommateurs que le commerce de change à effet de levier est un produit risqué. Cependant, les victimes de la crise du franc suisse affirment que l'ASIC aurait dû surveiller l'industrie de façon plus approfondie. Ive a estimé ASIC, agissant en tant que régulateur australien pour ces institutions financières, devrait vraiment prendre la responsabilité partielle pour le désordre actuel, un client FXCM a dit à l'ABC. Nous avons besoin de l'ASIC pour fournir un environnement sécuritaire et confortable pour tout produit financier à effet de levier destiné aux gens. Parce que cette fois-ci, il est arrivé dans l'espace monétaire, mais qui sait ce qui est la prochaine fois que la campagne de bombardement des Nations Unies: Unis pour mettre fin à la violence contre les femmes. Violation des droits de l'homme LE PROBLEME La violence contre les femmes et les filles ne se limite pas à un système politique ou économique particulier, mais elle est répandue dans toutes les sociétés du monde. Il traverse les frontières de la richesse, de la race et de la culture. C'est une expression de valeurs et de normes historiquement et culturellement spécifiques qui sont aujourd'hui encore exécutées par de nombreuses institutions sociales et politiques qui encouragent les femmes à subvenir à leurs besoins et à discriminer les femmes et les filles. Les instruments juridiques internationaux et régionaux ont clarifié les obligations des États de prévenir, d'éradiquer et de punir la violence à l'égard des femmes et des filles. La Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDAW) exige que les pays parties à la Convention prennent toutes les mesures appropriées pour mettre fin à la violence. Toutefois, la prévalence continue de la violence à l'égard des femmes et des filles démontre que cette pandémie mondiale d'ampleurs alarmantes doit encore être combattue avec l'engagement politique, l'action et les ressources nécessaires. Ces dernières années, les pays ont fait des progrès et des initiatives ont été élaborées pour lutter contre la violence à l'égard des femmes et des filles et les prévenir. Toutefois, des écarts demeurent dans de trop nombreux pays. Jusqu'à 7 femmes sur 10 dans le monde souffrent de violence physique ou sexuelle à un moment donné de leur vie 603 millions de femmes vivent dans des pays où la violence domestique n'est pas encore considérée comme un crime. Une femme sur quatre vit une violence physique ou sexuelle pendant la grossesse. Plus de 60 millions de filles dans le monde sont mariées avant l'âge de 18 ans. Environ 250 000 à 500 000 femmes et filles ont été violées lors du génocide rwandais de 1994. Selon les données de la Banque mondiale, les femmes âgées de 15 à 44 ans sont plus à risque de viol et de violence domestique que du cancer, des accidents de voiture, de la guerre et du paludisme. Violence par un partenaire intime La forme de violence la plus courante que subissent les femmes dans le monde est la violence physique infligée par un partenaire intime, les femmes battues, forcées ou sexuellement abusées. Des études ont révélé que les taux de femmes victimes de violences physiques perpétrées par un partenaire intime actuel ou antérieur vont de 6% en Chine et 7% au Canada à plus de 48% en Zambie, en Éthiopie et au Pérou. Ii Plusieurs enquêtes mondiales indiquent que la moitié de toutes les femmes qui meurent d'homicide sont tuées par leur conjoint ou leurs anciens maris ou partenaires. Iii En Australie, au Canada et en Israël, de 40 à 70% des victimes de meurtres ont été tuées par leurs partenaires, selon l'Organisation mondiale de la santé. Iv Aux États-Unis, un tiers des femmes tuées chaque année sont tuées par des partenaires intimes. En Afrique du Sud, une femme est tuée toutes les six heures par un partenaire intime. En Inde, 22 femmes ont été tuées chaque jour dans des meurtres liés à la dot en 2007. Au Guatemala, deux femmes sont assassinées en moyenne chaque jour. Violence sexuelle La violence sexuelle inclut le contact sexuel abusif, le fait de commettre un acte sexuel sans son consentement et la tentative ou l'accomplissement d'actes sexuels avec une femme malade, handicapée, sous pression ou sous l'influence de l'alcool ou d'autres drogues. Les taux de violence sexuelle sont difficiles à établir parce que, dans de nombreuses sociétés, la violence sexuelle reste un sujet de honte pour les femmes et souvent pour leurs familles. Les statistiques sur le viol provenant des dossiers de police, par exemple, sont notoirement peu fiables en raison d'une sous-déclaration importante. Selon l'Organisation mondiale de la santé, la proportion de femmes victimes de violence sexuelle par des non-partenaires après l'âge de 15 ans varie de moins de 1% en Éthiopie et au Bangladesh à 10 à 12% au Pérou, au Samoa et en République-Unie de Tanzanie. En Suisse, 22,3% des femmes sont victimes de violence sexuelle par des non-partenaires au cours de leur vie. Au Canada, une étude portant sur des adolescents âgés de 15 à 19 ans a révélé que 54 p. 100 des filles avaient fait l'objet d'une contrainte sexuelle dans une relation de datation. V Les mariages forcés et non enregistrés peuvent accroître la vulnérabilité des femmes à la violence, y compris la violence sexuelle. Vi La pratique du mariage précoce est une forme de violence sexuelle courante dans le monde, avec plus de 60 millions de filles mariées à l'échelle mondiale avant l'âge de 18 ans, principalement en Asie du Sud (31,1 millions) et en Afrique subsaharienne (14,1 millions). Vii Les jeunes filles contraintes au mariage et aux relations sexuelles peuvent subir des risques pour la santé, y compris l'exposition au VIH / SIDA, et une fréquentation scolaire limitée. Un des effets de l'abus sexuel est la fistule gynécologique traumatique: une blessure résultant d'une déchirure sévère des tissus vaginaux, rendant la femme incontinente et socialement indésirable. La violence sexuelle dans les conflits La violence sexuelle dans les conflits est une atrocité grave et actuelle qui touche des millions de personnes, principalement des femmes et des filles. C'est souvent une stratégie consciente employée à grande échelle par des groupes armés pour humilier les opposants, terrifier les individus et détruire les sociétés. Les femmes et les filles peuvent également être soumises à l'exploitation sexuelle par les personnes mandatées pour les protéger. Les femmes aussi âgées que les grands-mères et aussi jeunes que les tout-petits ont régulièrement subi de violents abus sexuels aux mains des forces militaires et rebelles. Le viol a longtemps été utilisé comme une tactique de guerre, avec la violence contre les femmes pendant ou après les conflits armés signalés dans chaque zone de guerre internationale ou non internationale. En République démocratique du Congo, environ 1 100 viols sont signalés chaque mois, avec une moyenne de 36 femmes et filles violées chaque jour. On estime que plus de 200 000 femmes ont souffert de violences sexuelles dans ce pays depuis le début du conflit armé. Viii Le viol et les violations sexuelles des femmes et des filles sont omniprésents dans le conflit dans la région du Darfour au Soudan. Entre 250 000 et 500 000 femmes ont été violées lors du génocide de 1994 au Rwanda. La violence sexuelle est une caractéristique de la guerre civile de 14 ans au Libéria. Pendant le conflit en Bosnie au début des années 1990, entre 20 000 et 50 000 femmes ont été violées. Ix La violence et le VIH / SIDA Plusieurs études du monde entier confirment les liens entre la violence contre les femmes et le VIH. L'incapacité des femmes à négocier des rapports sexuels sans risque et à refuser les rapports sexuels non désirés est étroitement liée à la prévalence élevée du VIH / SIDA. Les rapports sexuels indésirables entraînent un risque plus élevé d'abrasion et de saignement et une transmission plus facile du virus. X Les femmes battues par leurs partenaires sont 48% plus susceptibles d'être infectées par le VIH / SIDA. Xi Les jeunes femmes sont particulièrement vulnérables aux relations sexuelles forcées et sont de plus en plus infectées par le VIH / SIDA. Plus de la moitié des nouvelles infections à VIH se produisent dans le monde chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans et plus de 60% des jeunes séropositifs de ce groupe d'âge sont des femmes. Xii La vulnérabilité des femmes et des filles au VIH reste particulièrement élevée en Afrique subsaharienne 80 de toutes les femmes du monde vivant avec le VIH vivent dans cette région. Xiii Mutilations génitales féminines Mutilations génitales féminines Mutilations génitales féminines La coupe génitale (MCGG) désigne plusieurs types d'opérations de coupe traditionnelles effectuées sur des femmes et des filles. On estime qu'entre 130 et 140 millions de filles et de femmes vivant aujourd'hui ont subi des MGFG, principalement en Afrique et dans certains pays du Moyen-Orient. On estime que 3 millions de filles par an courent le risque de mutilation génitale. Xiv Assassinat de dot Le meurtre de dote est une pratique brutale où une femme est tuée par son mari ou ses beaux-parents parce que sa famille ne peut pas satisfaire leurs demandes de dot un paiement fait à une femme belle-famille sur son mariage comme cadeau à sa nouvelle famille. Alors que les dots ou les paiements semblables sont répandus dans le monde entier, le meurtre de la dot se produit principalement en Asie du Sud. Le meurtre d'honneur Dans de nombreuses sociétés, les victimes de viol, les femmes soupçonnées d'avoir des relations sexuelles avant le mariage et les femmes accusées d'adultère ont été assassinées par leurs proches parce que la violation de la chasteté de la femme est considérée comme un affront à l'honneur de la famille. Le Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP) estime que le nombre annuel mondial de soi-disant victimes d'homicide peut atteindre 5 000 femmes. Xv Traite de personnes Bien que l'ampleur de la traite des êtres humains soit difficile à quantifier, on estime que 2,5 millions de personnes sont victimes de la traite chaque année dans des situations telles que la prostitution, le travail forcé, l'esclavage ou la servitude. Les femmes et les filles représentent environ 80% des victimes. Xvi Violence pendant la grossesse La violence avant et pendant la grossesse a des conséquences graves pour la santé de la mère et de l'enfant. Il entraîne des grossesses à haut risque et des problèmes liés à la grossesse, y compris la fausse couche, le travail prématuré et le faible poids à la naissance. L'infanticide féminin, la sélection sexuelle prénatale et la négligence systématique des filles sont très répandus en Asie du Sud et de l'Est, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Discrimination et violence De nombreuses femmes sont confrontées à de multiples formes de discrimination et à un risque accru de violence. Les facteurs tels que l'appartenance ethnique des femmes, la caste, la classe, le statut de migrant ou de réfugié, l'âge, la religion, l'orientation sexuelle, l'état matrimonial, le handicap ou le statut VIH influenceront les formes de violence qu'ils subissent et leur expérience. Les femmes autochtones au Canada sont cinq fois plus susceptibles que les autres femmes du même âge de mourir à la suite de la violence. En Inde, les femmes Dalit éprouvent des taux élevés de violence sexuelle commis par des hommes de caste supérieure. En Europe, en Amérique du Nord et en Australie, plus de la moitié des femmes handicapées ont subi des sévices physiques, contre un tiers des femmes non handicapées. Xvii Harcèlement sexuel Entre 40 et 50% des femmes dans les pays de l'Union européenne subissent des progrès sexuels non désirés, des contacts physiques ou d'autres formes de harcèlement sexuel sur leur lieu de travail. Aux États-Unis, 83% des filles de 12 à 16 ans sont victimes de harcèlement sexuel dans les écoles publiques. Xviii De petites enquêtes menées dans les pays d'Asie et du Pacifique indiquent que 30 à 40% des travailleuses signalent une forme de harcèlement verbal, physique ou sexuel. Xix La violence à l'égard des femmes en garde à vue est courante et comprend la violence sexuelle, la surveillance inappropriée, les fouilles effectuées par des hommes et les demandes d'actes sexuels en échange de privilèges ou de produits de première nécessité. COÛTS ET CONSÉQUENCES Les coûts de la violence contre les femmes sont extrêmement élevés. Ils comprennent les coûts directs des services de traitement et de soutien des femmes maltraitées et de leurs enfants et de traduire en justice les auteurs de ces actes. Les coûts indirects comprennent l'emploi perdu et la productivité, ainsi que les coûts de la douleur et de la souffrance humaines. Le coût de la violence conjugale aux États-Unis dépasse à peine 5,8 milliards par an: 4,1 milliards pour les soins médicaux directs et les soins de santé, tandis que les pertes de productivité représentent près de 1,8 milliard. Une étude effectuée au Royaume-Uni en 2004 a estimé que les coûts directs et indirects de la violence domestique, y compris la souffrance, étaient de 23 milliards par an ou 440 par personne. Au Canada, le coût annuel des dépenses directes liées à la violence contre les femmes a été estimé à 684 millions de dollars canadiens pour le système de justice pénale, 187 millions à la police et 294 millions au coût du counselling et de la formation, soit plus d'un milliard par année . Xx En Ouganda, le coût de la violence domestique a été estimé à 2,5 millions de dollars des États-Unis en 2007. xxi Division de statistique des Nations Unies (2010): Les mondes des femmes 2010: tendances et statistiques. P. 127 Nations Unies Publication STESASTATSER. K19 Division de statistique des Nations Unies (2010): Les mondes des femmes 2010: tendances et statistiques. P. 131, Publication des Nations Unies STESASTATSER. K19 Krug EG et al. Eds. (2002) Rapport mondial sur la violence et la santé. 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